D'un bout a l'autre de la semaine, Sur les boulevards, dans les faubourgs, On les voit trainer par centaines, Leurs guetres sales et leurs amours Dans
D'un bout a l'autre de la semaine, Sur les boulevards, dans les faubourgs, On les voit trainer par centaines, Leurs guetres sales et leurs amours
: No more smiles, no more tears No more prayers, no more fears Nothing left, why go on When your lover is gone Shout with one Ring the bells Throughout
: Je revois la ville en fete et en delire Suffoquant sous le soleil et sous la joie Et j'entends dans la musique les cris, les rires Qui eclatent
: Cet air qui m'obsede jour et nuit Cet air n'est pas ne d'aujourd'hui Il vient d'aussi loin que je viens Traine par cent mille musiciens Un jour
: Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu ! Laissez-le-moi Encore un peu, Mon amoureux ! Un jour, deux jours, huit jours... Laissez-le-moi Encore un peu
: La vie, la vie ca se trouve Dans l'amour. L'amour, l'amour ca se perd Dans la vie. La vie, la vie ca se donne Par l'amour. L'amour, l'amour ca
: Non ! Rien de rien Non ! Je ne regrette rien Ni le bien qu'on m'a fait Ni le mal tout ca m'est bien egal ! Non ! Rien de rien Non ! Je ne regrette
: Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer Et la terre peut bien s'ecrouler Peu m'importe si tu m'aimes Je me fous du monde entier Tant qu'l'amour
: Il avait de grands yeux tres clairs Ou parfois passaient des eclairs Comme au ciel passent des orages. Il etait plein de tatouages Que j'ai jamais
: C'est pas seulement ma voix qui chante. C'est l'autre voix, une foule de voix, Voix d'aujourd'hui ou d'autrefois, Des voix marrantes, ensoleillees
: D'un bout a l'autre de la semaine, Sur les boulevards, dans les faubourgs, On les voit trainer par centaines, Leurs guetres sales et leurs amours
: Il y en a qui viennent au monde veinards. D'autres, au contraire, toute leur vie sont bignards. Mon pere etait, pairait-il, un baron. Ma mere etait
: Sur cette terr', ma seul' joie, mon seul bonheur C'est mon homme. J'ai donne tout c'que j'ai, mon amour et tout mon c?ur A mon homme Et meme la
: Un soir je me faisais une pleine eau Pour tout maillot j'avais la peau Nul ne pouvait me voir que le ciel noir La lune soudain vint s'exhiber J
: Allez venez! Milord Vous asseoir a ma table Il fait si froid dehors Ici, c'est confortable Laissez-vous faire, Milord Et prenez bien vos aises
: Des yeux qui font baisser les miens Un rire qui se perd sur sa bouche Voila le portrait sans retouche De l'homme auquel j'appartiens (Refrain:) Quand