Traducción: Patricia Kaas. A senha.
la Le mot de passe, le mot de passe Ce sera nous Je n'ai que ca d'eternite a te confier Ces quelques heures Ou j'aurais choisi d'arreter Le petits battements
su dire je t'aime Et je m'en veux tellement parfois Que ca te fasse de la peine De passer a cote de ca Mais j'ai bien trop de memoire Pour simplement pouvoir le
Attendre Que le train arrive Que le train reparte Que tu veuilles le prendre Attendre Que les mots que je pense Soient les mots que tu dises Sans jamais
une revolte quand il faut mourir Pour implorer nos saints, nos dieux Mais pleurer nos destins de gueux Quand le ciel est trop grand Qu'il faudrait le
gestes lents Aux coups mortels Les eternelles absentes Ici comme avant Nous sommes leurs survivants Nous n'avons pas la grace Et encore moins le temps
Ce peintre devenu fou Qui veut saisir la lumiere Comme un alpiniste reve Un jour d'atteindre le ciel J'ai connu des deserts dont je ne voyais pas le
derniers terriens Qui s'aiment encore Qui s'aiment encore Comme amour, comme amour Y a pas mieux Et moi j'ai toutes mes mains Pour le garder Pour moi toute seule Et pour le
a nous Et c'est pire Quand je t'oublie Je passe par ou tu respire Une femme est ainsi faite Pour renaitre Une femme est ainsi faite Pars et je ferai le
Si tu reves on a le temps Si tu reves on a le temps Si tu reves on a le temps Si tu reves on a le temps Le temps, le temps ....
J'entends bien tes silences Qui me laissent au bord de l'amour Ou de toute evidence Y a pas d'echo de retour Je connais tes absences Ta facon d'etre
Qui sonne guerre, qui sonne eternel hiver Et si tu veux m'apprendre Si tu veux vraiment bien me connaitre Je suis dans chaque mot dans chacun de mes gestes Une fille de l'Est Ici le
Je ne chercherai plus ma route Ses chemins creuses par le doute La terre n'en sera pas plus loin Ni plus a portee de la main J'en aurai fait de ces detours