Letras: Mokaiesh. Cannibale.
Peau brulante, peau tendre, incendie a la chaine.
Je te tiens, tu me tiens mais je t'etrangle un peu. Chevelures, projections, vagins, desir aux abois. Section, frictions, pulsion, delicieuse proie.
Cannibale a plein temps,
j'aurais voulu mille ans.
Peau brulante, peau tendre, corps a corps ecarlate.
Comme j'etais heureux au secours d'un regard.
Craquelure a ton ventre, picotis de tes doigts.
Section, friction, pulsion, delicieuse proie.
J'ai vu, j'ai vu, j'ai vu des parois des merveilles,
j'ai vu, j'ai vu, j'ai vu des eaux qui s'offrent a moi,
la vie, la nuit, la joie, mon ange mais...
mais...
Cannibale a plein temps,
j'aurais voulu mille ans.
Dans un souffle, un eclat tout se perd.
Nos yeux finiront par se taire.
Le temps d'un baiser, le temps d'y croire, le temps le temps que tout se barre en miettes ;
le temps le temps que tout se barre en miettes.
Mais un souffle , un eclat, tout se perd.
Nos yeux s'en iront prendre l'air. Le temps d'une bouffee, d'un soleil, au hasard,
le temps le temps que tout se barre en miettes, le temps le temps que tout se barre en miettes.
Cannibale a plein temps, j'aurais voulu mille ans.
(Merci a Dut pour cettes paroles)
Je te tiens, tu me tiens mais je t'etrangle un peu. Chevelures, projections, vagins, desir aux abois. Section, frictions, pulsion, delicieuse proie.
Cannibale a plein temps,
j'aurais voulu mille ans.
Peau brulante, peau tendre, corps a corps ecarlate.
Comme j'etais heureux au secours d'un regard.
Craquelure a ton ventre, picotis de tes doigts.
Section, friction, pulsion, delicieuse proie.
J'ai vu, j'ai vu, j'ai vu des parois des merveilles,
j'ai vu, j'ai vu, j'ai vu des eaux qui s'offrent a moi,
la vie, la nuit, la joie, mon ange mais...
mais...
Cannibale a plein temps,
j'aurais voulu mille ans.
Dans un souffle, un eclat tout se perd.
Nos yeux finiront par se taire.
Le temps d'un baiser, le temps d'y croire, le temps le temps que tout se barre en miettes ;
le temps le temps que tout se barre en miettes.
Mais un souffle , un eclat, tout se perd.
Nos yeux s'en iront prendre l'air. Le temps d'une bouffee, d'un soleil, au hasard,
le temps le temps que tout se barre en miettes, le temps le temps que tout se barre en miettes.
Cannibale a plein temps, j'aurais voulu mille ans.
(Merci a Dut pour cettes paroles)
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