Letras: Karkwa. Moi-léger.
Y avait l'hiver, y avait le froid qui me tuait
Mais la c'est pu important
Y avait le temps, y avait les ages qui defilaient
Mais la je m'en fous vraiment
C'est un passage oblige
Un long couloir a creuser
Entre moi et moi-leger
C'est une chanson de lumiere
L'etape apres la misere
L'emotion d'un courant d'air
Y avait les filles, y avait le rock qui nous saoulait
Mais la c'est pu important
Y avait les routes, y avait les trous que l'on grugeait
Mais c'est de moins en moins pesant
C'est un passage oblige
Un long couloir a creuser
Entre moi et moi-leger
C'est comme un nouveau printemps
Un plongeon dans l'ocean
C'est comme le vin dans le sang
Y avait la guerre, y avait les droits qui nous mentaient
Mais la c'est moins prenant
Y avait le ciel, y avait les dieux qui me hantaient
Mais la je m'en fous vraiment.
C'est une chanson de lumiere
L'etape apres la misere
L'emotion d'un courant d'air.
Mais la c'est pu important
Y avait le temps, y avait les ages qui defilaient
Mais la je m'en fous vraiment
C'est un passage oblige
Un long couloir a creuser
Entre moi et moi-leger
C'est une chanson de lumiere
L'etape apres la misere
L'emotion d'un courant d'air
Y avait les filles, y avait le rock qui nous saoulait
Mais la c'est pu important
Y avait les routes, y avait les trous que l'on grugeait
Mais c'est de moins en moins pesant
C'est un passage oblige
Un long couloir a creuser
Entre moi et moi-leger
C'est comme un nouveau printemps
Un plongeon dans l'ocean
C'est comme le vin dans le sang
Y avait la guerre, y avait les droits qui nous mentaient
Mais la c'est moins prenant
Y avait le ciel, y avait les dieux qui me hantaient
Mais la je m'en fous vraiment.
C'est une chanson de lumiere
L'etape apres la misere
L'emotion d'un courant d'air.